Partout où il y a souffrance animale, non respect du droit des animaux, les associations confédérées agissent : elles traitent l’urgence, informent et sensibilisent les populations locales, s’investissent dans des actions au long cours.
Éduquer les jeunes
Mission câlins
Protection animale directe
En Eure-et-Loir, ce sont les élèves des collèges et des lycées qui sont mobilisés par l’association de protection animale locale. Des journées pédagogiques sont organisées dans leurs établissements, ainsi que des collectes de nourriture. Les jeunes participent également à l’entretien du refuge et aux soins prodigués aux animaux : une façon pratique de découvrir les réalités de la protection animale .
Actions des refuges
Des refuges toujours pleins
Recueillir des bêtes abandonnées, maltraitées ou orphelines dans des refuges, c’est la mission la plus connue des associations de protection animale confédérées. Grâce à elles, 120 000 chiens, 61 000 chats et 1350 autres animaux sont accueillis chaque année, soignés, et quand cela est possible, proposés à l’adoption.
Un tour de force si on considère que seules 24 000 places d’accueil sont disponibles en même temps !
Journées d’adoption
Les refuges fonctionnent tous les jours et chacun peut aller y chercher un animal, mais pour faciliter les adoptions en masse, des journées portes ouvertes sont régulièrement organisées. A la veille des fêtes de fin d’année, les associations plaident pour des adoptions responsables, tenant compte des besoins de l’animal comme des possibilités de l’adoptant. Il s’agit de créer les conditions d’une adoption définitive, fonctionnant dans un respect mutuel.
Les enquêtes
La protection des animaux victimes de mauvais traitements et d’actes de cruauté est également très connue. C’est au refuge local qu’on s’adresse quand on a connaissance de tels actes, afin de les faire cesser au plus vite. C’est donc l’association qui mandate un enquêteur, lequel constitue le dossier indispensable à une intervention réussie. C’est encore cette association qui se fait la voix de l’animal maltraité et qui demande réparation auprès de la justice. Grâce à toutes ces associations, des animaleries du quai de la Mégisserie à Paris ont été récemment condamnées, ainsi qu’un éleveur de chevaux, un voleur de chien et également un homme qui a abattu un animal qu’il avait trouvé.